Le K-drama ‘Dear Hyeri’ fait sensation avec son approche unique du trouble dissociatif de l’identité (TDI) dans un contexte romantique. Diffusée les lundis et mardis, cette série met en scène Joo Eun Ho, une journaliste interprétée par Shin Hae Sun, qui développe un TDI suite à un événement traumatique mystérieux impliquant sa sœur.
Voici quatre aspects qui ont particulièrement séduit les spectateurs dans les deux premiers épisodes :
1. L’interprétation phénoménale de Shin Hae Sun
L’actrice relève brillamment le défi de jouer deux personnalités distinctes. Sa performance va au-delà des changements de style vestimentaire et de coiffure, offrant une transformation totale du langage corporel et du ton de voix pour chaque personnage.
2. Une narration fluide sans excès d’explications
Contrairement aux craintes initiales, la série évite le piège de l’exposition excessive. Elle plonge directement les spectateurs dans l’action, permettant aux personnages de se dévoiler naturellement.
3. Des intrigues amoureuses complexes
La série propose non pas un, mais deux arcs romantiques pour le personnage principal. Eun Ho navigue entre son ex-petit ami de huit ans et un collègue intéressé, tandis que Hye Ri, sa seconde personnalité, développe des sentiments pour un présentateur au passé mystérieux.
4. Une approche réaliste du TDI
Bien qu’il soit trop tôt pour juger de l’exactitude médicale, la série semble aborder le TDI de manière plus réaliste que d’autres productions. Elle explore les origines traumatiques du trouble et montre des symptômes courants comme la fatigue chronique.
‘Dear Hyeri’ soulève également de nombreuses questions intrigantes. Comment Hye Ri a-t-elle obtenu une identité légale ? D’où vient son appartement ? Et surtout, pourquoi y a-t-il une différence d’âge de 10 ans entre Eun Ho et Hye Ri ?
Avec son mélange unique de romance, de mystère et d’exploration psychologique, ‘Dear Hyeri’ s’annonce comme une série captivante qui repousse les limites du genre K-drama.